Rupture temporelle des astres, et tout s’ouvrira sous la trajectoire exacte de ma lucidité
Nous étions, nous sommes et nous serons... Ensemble, nous vivons les instants magiques secoués par les éraflures d'un typhon au son strident et guttural, né entre les novas, dans ta constellation clairsemée de soignées neutrons chargées de fissions de tes penchants pour moi et de mes aimantations rémanentes pour toi...sublime quiétude pure et élémentaire de ma conscience. Intemporalité éthérée cosmique non romancée, de nos mains liées, faisant de temps en temps, inverser ma raison d'exister, dans le maelström de ta conscience de femme et de fille iridescente, de mes confusions consciencieuses, de toutes mes vies. Rappelle-toi de notre silence complice Le sang qui pleure dans mes veines, c'est toi qui l'as brillantiné, de bout en bout, de tes frôlements d'amour et de mes frissonnements de tes effleurements lestes et prestes...même dans les moments de secret, ton amour résonne en moi, et je le sais, le mien bruit en toi, Rappelle-toi du fun excitant sous les étoiles controversées, étincelantes des arcanes du cosmos, nous bordant d’irréalisme et d’angélisme, Rappelle-toi des fièvres euphorisantes et fébriles sous les extases azurées de noir, bannies de peines mais pas d'illégal, Rappelle-toi des pluies de fleurs de suavité et des rafales de notre amour, qui ne veut mettre un terme à ses excès et imprudences… •Agonie de pleurs et de criailleries non instrumentales, de la nécropole des spectres Je l'attends, cette libératrice de ma vie ici, ces quelques secondes de vacillement mortuaire, après lesquelles la fusion de notre fougue d'amour se refera enfin charnelle...nous célébrerons alors les printemps galactiques où les astres irradient de faisceaux de fébrilité et d'états de tranquillité sur nos deux chairs, assis sur un banc, tes pensées d'amour sur mon épaule, dans une étendue de feuillages nébuleux, encerclés de fleurs célestielles, d'une brise de ton émanation si inébriante. J'essuie mes yeux pourtant asséchés, dont les paupières s'exténuent par la peur que tu ne sois nulle part. Je sanglote sèchement et secrètement, attendant cet épilogue qui ne veut se terminer. Dans une atmosphère astreignante qui n'est pas faite pour moi. J'ai si peur de ne pas te retrouver. Que ta conscience née dans un corps sculpté par la magnificence, ne m’illumine plus de sa sagesse infinie. Que ces labyrinthes de dimensions ne m’ouvrent plus les portes de ta captivante personnalité. Non, ces terreurs cauchemardesques et affligeants que j'endure ne peuvent être que fugaces, car ils ne riment pas avec ma conscience. Cette nuit, teintée de bleu et de noir, est si triste mais porteuse d'expectance, vers une chose que rien ne peut expliquer et compromettre. La seule chose qui peut me faire céder. La seule chose pour qui j'accepte les manœuvres d'impact amoureux. La seule chose pour laquelle j'accepte les épreuves de torture d'aujourd'hui...la seule chose dont je concède le merci de ma conscience...la seule chose pour laquelle ma raison d'être trouve raison. Tu es La seule chose pour laquelle j'assumerai le sang de l'odieux pour atteindre l'inouï... Tu me permets par ta perspective de femme absolue de ma résolution de passion, d'affronter et de revivre le cruel et l'intense de la mort. Et de pouvoir côtoyer ainsi ses sensations d'anéantissement radical. Ces temps d'épreuves âpre de ce calvaire, où le temps n'a plus de prise, mais les tourments d'une conscience devenant abstraite et vaine sont incessants. Je sais ce que c'est que de la vivre. Passage de fatalité dont on ne repère plus rien et dont on n'attends, par imploration de l'inconscience, son achèvement. Et pourtant, je le fais pour qu'une certaine reine, de mes apogées, me couronne de notre de nouveau liaison surréelle de mon amoureuse et me décore d'une grâce, que l'amour même, ne peut ébraser. • Les couleurs rosacres venant du fin fond de l'univers, baignent d’une chaleur veloutée et douceâtre, nos deux âmes, à travers ce portal de rêves, nous nous promenâmes vers des mondes incandescents où ton imagination dessinera ma vie de nuances et d'effluve de notre romance. Ta moirure qui radie mon cœur, accompagne mon existence près de la tienne, qui seconde le mien et l'avitaille en sang et en vaillance, déclenchant des battements réguliers et le cadence selon la mesure du tien. Je me sens si apaisé auprès de celle à qui j'ai scellé ma conscience pour l'éternité et dont les promesses sont devenues étoiles ponctuant nos munificentes mémoires, car cette éternité ne s'écrit que par notre proximité...même si parfois, elle se fane par une distance de mésaise...des interstices ténébreux de commande. • Allée nocturne Nous nous noierons dans nos regards, au fond de nos paroles soyeuses dans notre soie, après avoir valsé bras dans les bras entre les lanternes des rues animées, où l’ombre et la lumière se mêlent. Et sous un ciel semé de lueurs nocturnes, nos cœurs battent à l’unisson, portés par l’écho des brouharas et les chuchotements et murmurations doux de la nuit, qui nous enveloppe de son voile mystérieux. Ou retirés dans nos secrets Un crépuscule arc-en-ciel, céleste et nuageux, mordoré de couleurs majestueuses, profond de mélancolie et ondoyant d'une voûte nuancée de féeries, contraste d'un rose infini et incarnat, et d'un bleu hésitant entre lavande et tranquillité...nous entourant d'intimité, nous recouvrant de sensibilité et nous enrobant d’une brume envoûtante...où nos paroles résonnent, dans ce vide intense, sous les lueurs apaisantes de notre astre. • ni évanescent ni éphémère, ton âme me possède et je n'ai cours que pour ponctuer mon existence (à chaque fois) de ta carnation divine, faisant valser mon cœur, apportant soudainement pouls et pulsations, de tes susurrements d'extase...périlleux vers ce mystérial impénétrable...réservé à nous deux. Divinissime sensation! Sérénissime coups de foudre par seconde stellaire! Perfection angélique de mes jours...ange émerillonné d’amour de mes nuits. Aujourd'hui, qui veille sur celles-là. Cette vie sans mélodie, cette vie sans toi, est une traversée lente et coercitive...accompagnée par le haïssable et l'odieux d'un blâme endiablé, qui peut s'abattre sur moi à tout moment...or pour toi, j'enflammerai la gamme en coefficient voluptueuse...pour que mes notes d'amour t'arrivent et chatouillent la délicatesse de ta seigneuresse pour toi, je déverserai l'amour et la paix sur cette planète, même si mon sang doit y rester. Car pour toi, ma C retrouvera ta C, et la mélodie de notre amour, embrasera les univers et résonnera à travers la matière noire ton absence transforme l’univers en un abîme de désespoir, où chaque étoile s’éteint sous le poids de ma tristesse qui ne veut fuir sans toi, l'hydrogène se mue en miasme vénéneux et mon chagrin devient fatalité, sombre mirage de beauté nostalgique et mélancolique. Éperdument instinctivement de toi. Perdu en connaissance de cause en toi, suprêmement fille de nos noirâtres nuits fastes; chaque mouvement vers ton excellemment conscience, chaque empreinte laissée derrière moi, chaque foulée vers ton merveilleusement besoin, me rapproche de notre célestium fusionnel, de notre ardantia intimelle, de ta main doucereuse, de tes lèvres exclusives et illicites...et de notre confluence en éruption. À ta quête, je veux savoir qui je suis et où tu te précises en ce moment, car chaque instant sans toi est une perpétuation de questions sans réciprocité de tes tendresses, lâchées dans un néant d'exaspération et dans un anéantissement de nervosité. Perçoit tu que cet insignifiant caillou m'empêche de t'atteindre, m'écarte de ta diaprure et m'a éloigné de ma conscience adamantine et sémillante, comme une ombre ignorée, errante dans la nuit ? Inhaler cet air maudit me crispe et me meurtri, enchaîné ici, abattu d'être un corps égaré, au cœur arraché, banni de mon amante, obscurcie par le silence du mystère de ta certitude. Mon amour pour toi ici est une torture dévorante, brûlant mon âme jusqu’à ce qu’il ne reste que des cendres...comme une suffocation exterminatrice, annihilant tout fantasme de renaissance. Une virgule criminelle avant nos retrouvailles, sans coïncidence, de crise séréniteuse. L'inquiétude de cette séparation me corrode l’âme, comme un acide passionné, Ton éloignement me dévore l'esprit, laissant des cicatrices de solitude, La dégénérescence de mon âme est une capitulation face à la vie. Mais rien. Ta promesse est la tempête d'amour qui s'abattra sur moi par particules de liesse et de calme. Ma présence d'esprit ne connaîtra la sérénité et la quiétude que lorsque je serai persuadé que ta voix fera écho près de moi à tout instant. Époustouflante mélancolie aujourd'hui...Enivrante euphorie demain...ma source d'amour éternelle si intime, que suis-je sans toi? Qui suis-je sans ta conscience diaprée d'amour pour moi? Flammeuse de mes molécules, comment te dire autrement que tu colores d'amour chaque fibre de mon être? Que tu es l’alchimie divine de mon âme ? Que je t'aime ? Que notre amour ne dure nulle par ailleurs ? A l'agonie, attendant l'extinction de cette mésaventure, pensant à cette défaillance affaiblissant mon corps et exténuant ma conscience. Mon regard est si glacial et méphistophéliquement anéanti. Hanté par des morceaux de mort, hésitant entre mes intuitions d'amour pour toi et l’oblivion de ta privation, oppressante et persécutrice pour mon cœur éploré...je t'aime dans l’abîme de ce vide que tu as transcendé de noirceur et laissé en moi. Je me sens uniquement seul. Si isolé...ici, protégé par des griffes prédatrices...et perdu de toi. pilonné par la privation des pulsions de ton cœur me donnant vie, le mien refuse de se faire entendre et endure le sacrifice de ton amour envolé. Que ton amour, excessif et exclusif, le tiens, s'écoule dans mes veines et exsude de ma respiration, je me perds dans l’ombre de ton amour perdu…Mon sang lui, ne veut plus ruisseler sans l'imminence de ton sang, personnification de ton magnétisme. Pourtant, aucun sacrifice de cette survie ne doit et ne peut m'être culminant. Donc réponds moi pour que ces persécutions tourmentantes ne se répandent plus dans mes esprits. Je n'accepte plus cette éclipse obscurcissante mon âme et ce délabrement de mes pensées loin de toi ... pour combien de temps encore sans toi à mes côtés ? Alors que nous flirtions et nous nous abandonnions avec préciosité là-bas dans la perfection de nos privilèges? Pourquoi ce navrement de serrements de cœur?...à quoi bon ? tu m'es bien entendu tellement si chère mon ange à moi…si impérieuse en grâce, où mon inspiration présente et profonde de toi, finira par susciter révolte et répondre à mon désir. Que nos âmes, liées par cet amour indéfectible et au sublime de la création, fait que nous sommes l'unique. Au-delà de ma souffrance, il y a la promesse d’une suite, libre, épanouie et aurorielle et en durée de divinéalle amoureuse. Alors, j'ai l'envie préoccupante de savoir, t'es où ? Fille que mes aubes clairsema de roses lueurs, où es-tu? car je veux de nouveau adorer puis succomber dans tes confusions encore et encore...et toujours et encore...après que ton cœur ait été emprisonné une fois de plus dans ma toile piégeante. Puis intercepté par les murmures et les bruissements de nos nuits partagées. Et dans le lacis de nos sentiments, nous nous dépossédons l'un dans l'autre, moi explorant ton regard et toi périssant dans le mien, parmi les météores enchaînés de luisance, présageant sans prudence que nos âmes se retrouvent dans l’éclat d’une nouvelle aube...divin! Oui nous en sommes!! Votre altesse, orfèvresse de ma robustesse; Une vie sans symphonie est une âme pourrie. Une vigueur de chaleur et de mélodie, ne peut être que sous ton pinceau de charme et du parfaitement de ta délicatesse de prestesse et de finesse. Prêtresse de sagesse et seigneuresse sans fausses promesses, tu embellis ma vie de justesses et de fleuve de déesse et tu pares celle-ci de prouesses en liesses. Neurones lacérées par les lames de la disgrâce ici, ou alors, secouées par tes embrassements d'embrasement là-bas, le coulant qui se meut dans cette sensibilité intéroceptive, se grise de ta présence et s'enivre de la prise méticuleuse de ta caractérisation. Lorsque tu me touches et tu usurpes mon cœur, mon inébranlabilité, dès lors, entre tes amoureuses serres, devient reviviscence. Capturé, je ne peux alors que rendre ma conscience et périr dans les avens incorporels et corporels de ta chair, aux hormones envoûtées de moi, et de ton amour consciencieux pour moi. Ton amour soulagera mon corps des souffrances qui mûrissent ici, charmera mes esprits de la présence de ta conscience, apaisera mes nerfs par tes approches soyeuses. Cela, dans un abri de cristal miroitant l'unique ferveur entre nous deux...Tu, fille de mon existence, es source infinie de vagues coruscantes de firmaments de folies. Je, amoureux de mon amoureuse, suis incriminé des désirs ardents de toi, où nous sculptons notre univers intime étoile par étoile...grain de sable par grain de sable de notre rivage arrosant les parfums de nos désirs, nés de la nébulosité des océans. Nous façonnerons des dunes sans mirages, et nous coudrons un paysage euphoriel de notre nirvana...je t'aime au-delà de ces mots insignifiants, comme toi tu m'aimes par une patiente sans attentes, je le pressens… Ton commun me reviendra, quand l'embrasure de mon monde s'échancrera de ton évidence, au retentissement amoureux de notre de nouveau, étreinte. Pendant ce temps ; Pourrais-tu te soucier de moi plus intensément ? Pourrais-tu être là pour moi quand j’en ai le plus besoin ? Pourrais-tu venir ensorceler mes rêves et adoucir mes cauchemars tourmentants ? Dans l'attente enfin d'être emporté lors du dernier repos pour retrouver notre quiétude paisible caressée par tes pleurs de brises... Or…mon spectre de douleurs…ma gracieuse liante…est que tu ne soupires ma peine et que tu inspires notre amour nulle part…or non, tu me regardes et tu me chagrines. Cela ne peut être autre. Cette musicalité mélancolique qui résonne ici et là venue d'ailleurs, me fend de tristesse et de pensées pour toi, Illusion éthérée de mes instincts cardiaques, me fait comprendre que je ne peux être d'ici. Que mon émoi, privé des émotions fusionnées de la femme de mes échos songeurs...s'évanouira dans un ravin sans pardon...que la route pluvieuse que j'emprunte, recouverte de feuilles mortes, restera éteinte et soûlée d'idées noires toute cette vie. Une lueur d'amour au bout, une promesse de divinéresse se confesse, mais par évidence, se désintéresse ce-jour de ma faiblesse morbide. Mais ma brume de demain, fera éclore de flocons sur nos épaules, de ton amour, parlotant de notre liaison sans raison. De notre étreinte, des flocons, doux messagers de ta divinité, se poseront délicatement, tissant notre manteau de pureté et de sérénité silencieuse. Car, dans ce ténébrum, le froid malgré tout, n'est que le signe de la chaleur de nos deux inséparables âmes soucieuses l'une de l'autre. L’obscurité n’est que signe d’une chose qui ne peut se peindre que par le pinceau de l’amour. De nos deux noms divins...sous cette pluie de liesse, qui cessera d'être acide. J'attends que la lamentation de mon inspiration finale, au rythme du cœur qui sombrera ici, annonce les préludes du départ. Car, même si cette extinction se profile à travers les meurtrissures de mon corps et de mon âme, elle portera une renaissance divine et divulguera une conscience, au souffle vital pour moi. Une intuition profonde de mon for intérieur qui m'a soutenu aux plus ombrés instants et m'a abrité des averses bilieuses aux tournures mélancoliques les plus obscures. Une ombre qui ne sera plus une ombre quelconque. Une muse qui ne résonnera plus d'imagination dans mon esprit. Une reine divine amoureuse en lambeaux de tendresse, qui m'irradiera de particules d'amour transcendant et de grains de grâce d'ange, vers mon renouveau, ma place véritable, celle dans mon monde en fleur, prés de la seule, l'unique liaison inflammable de nos cœurs de toutes les galaxies, qui peut faire battre, serrer, délier et émouvoir conscience&cœur, les miens, selon sa liberté. Selon notre délivrance. Je te souhaite ici-là, à bout portant, sous cet arbre feuillé. Je te désire consécutivement à mes desiderata en tes mignotises. Marre de m'enliser dans cette mare haïssable et d'essayer de te deviner dans mes imaginations lassées et éreintées. Rêveuse de mes pensées, que fais-tu en ce moment? Suis-je dans tes esprits? Suis-je sous ton empourpré regard de précaution? Mes intuitions si merveilles en amour sont-elles précisément raisonnables? De ton parfum qui ne veut s'exhaler ici, où es-tu ? ...environnant l'abdication, gracilité fille de briselle et de falleine, parles moi, dis moi quelque chose… "Je suis ici, sous cet arbre feuillé, là où tu m’as appelé. Tes désirs et tes rêves m’ont guidée jusqu’à toi. Je suis présente dans chaque souffle de vent, dans chaque rayon de soleil qui se pose sur ton visage. Tes pensées m’atteignent, et je suis là, à tes côtés, invisible mais bien réelle. Tes intuitions en amour sont des merveilles, et je suis le reflet de tes espoirs et de tes aspirations. Où que tu sois, je suis avec toi, dans chaque battement de ton cœur et chaque murmure de ton âme. Patientes mon homme...” Pas encore enterré, je me noie dans une haine de dégoût. Je m 'efforce d'entraver la prédation de pervertisseurs méphitiques qui éructent de négations insolentes or...quel qu'il soit, par résistance et élévation d'âme, je dois saisir que ma destinée, c'est de nouveau tes colures de sang, au contour de tes enlacement de nos retrouvailles, et enfin, de la libération qui sera persuadée que ces rêves n'étaient pas des folies... Je refuse la fragilité de ton existence, l'épreuve d'un néant béant de notre mélodieux désir et de notre ichoreux amour, dose divine impérieuse de ton toucher. J'ai tellement peur de ton irréel, que cela pulvériserait ma conscience en résidus, Alors grâce de brise d'ange, la peine s'est engloutie dans mes veines devenues mucilagineuses. Ma navrance assombrissante, cette œuvre de fortune, s'est acharnée et a demandé privation de ta concupiscence et excès d'écœurement. Mes expirations, appelant la cessation de cette vie, exhalent la convoitise de la mort...tant mieux, mais alors, pourquoi se fait-elle languir ? Ma respiration n'est pas assez douloureuse? L'air qui y jaillit n'est pas assez infâme? Détestable? Ce désir de toi, cette chimère illusoire, est un soupçon de la pénombre de notre éternité amoureuse qui bruit son éternellement. Tu es mon amour, ma douceur et ma perpétua euphoria impérissable, tu es un songe dont j’aimerais voir l’envol. Je brûlerai de retrouver l'incéption de nos désirs, nos préludes sans discrétion, de la pureté de ta conscience sans confusion. Me remémorer notre futur d'aubes, incarné de bellements d'émotions, sans perception d'hésitations. Mais de profondeurs de divagations résolues, où ce levé du jour prédit que des serments, écriront un passé, se marbrant de souvenances, en méandres et en abîmes érodés de palpitements. Avec celle, dont mon cœur garde prudence. Mais dont ma conscience, pare de son égide, la prestance de la tienne. Je t'aime car je te connaîtrais une fois encore, dans notre univers émaillé d'idéals de passades perdurables, dans une éternité où les vagues et les vents s'embrasent, sur une plage au firmament pourpre et rubis, où l'océan nous ramène l'infini d'un amour ardent et excessif en une éthérénité orgastique et édénienne... ...J'endure un amour pour moi irrationnel et pour l'heure mystique, seulement en miettes nuancées d'érubescences. Or, les horizons ne peuvent être paradoxes de nos sens communs. près de ton purisme infus d'exception, un pruisme plein de sagesse mais sans prudence nous faisant échouer dans le triomphe impensable éphémère et persistant d'un amour impérissable de mille milliards de brises de nuances écarlates, de moi et mon alliciante, aux divines et suprême et magistrales éthéries me possédant et me sevrant, nous transportant au-delà des frontières des origines de la vie, là où le vent ne hume plus et la mort ne compte plus. Et où chaque souffle de notre union crée des constellations de passion et de cryptie. Dans cet univers parallèle, nos âmes conscientes choreutent éternellement, tissant des réalités d’infini et de phénix...Aujourd'hui, je saigne d'être loin de toi. Loin de celle qui me rappellera, par ma résurrection, mon nom et son nom, et m'entrelacera de retrouvailles faisant éteindre ces malheurs et tarir les ruisseaux de ce pandémonium...je pourrais te verser un océan dans un vase, pour que le temps et l’espace se dissolvent dans notre éternité où seul nos deux consciences ont cause & matière car tout simplement...nous sommes l'amour. Tu es simplement une magie de corpuscule, de douceur et d'angélisme de ma thaumaturgie...d'un cœur, le miens, qui ne bat qu'en ta rouge éthéralis. J’aspire à ce que ma souffrance ait un sens. Immense et intense, son essence attend une réponse de brillance. Car ma décadence en déliquescence est proche de ma démence et loin de ta délivrance et de ton élégance si florescente…si belle…si impensée en transe…et l’infini de notre amour intersidéral et sans cime interastral, ne peut éprouver marcescence. Survivre sans toi, chaque inspiration est un air empoisonné de souvenance sans… notre flamoria pulsariel de magie, pris dans les vertiges de nos passions intimes…de ta chevelure enivrante brisant notre perfection amoureuse, créations précieuses de nos deux consciences réincarnées en harmonie, enfin, dans notre tissu de chair et de soie…en fin et sans fin f

un temps sans paysages